Franck Desmedt débute au théâtre
de Boulogne Billancourt dans Eurydice de Jean Anouilh où il obtient
un premier prix d’interprétation pour son rôle d’Orphée.
Il enchaîne ensuite sur de nombreux
classiques : « Les fourberies de Scapin », « Le malade imaginaire »,
« le Bourgeois Gentilhomme » ou encore « le médecin malgré lui »
dans une mise en scène de Maurice Risoh avec Luis Rego; ainsi que
Renaud et Armide de Cocteau au théâtre du gymase.
C’est au petit
théâtre de la Huchette à Paris qu’il jouera et créera « l’Amical des
Contrevenants», pièce policière absurde de
l’humoriste Gautier
Fourcade, mais surtout « les classiques contre-attaquent » avec
Sébastien Azzopardi, un two men show qui recueillera les suffrages
du public et de la critique. Ce spectacle sera joué 250 fois !
Il signe sa première
mise en scène à l’espace Jemmajes (Paris XX) pour le spectacle « Les
amours de Jacques le Fataliste » d’après Diderot.
En tournée Franck joue avec Marie-José
Nat dans « L’éventail de Lady Windermere » d’Oscar Wilde, et
participe au festival d’Avignon où il crée « Ballade sur Internet »,
une comédie que mettra en scène son ami Gérard Linsollas (actuel
directeur du théâtre de Bruges en Gironde). Dans « Ballade sur
Internet », Franck incarne 17 personnages différents et la presse le
salue comme « un nouveau Fregoli ».
En 2006, il joue au Palais Royal "le Mariage de Barillon" de
Feydeau, puis reprend au Théâtre 14 "L'Éventail de Lady Windermere"
d'Oscar WILDE" avec Geneviève Casile.
Au-delà
des créations parisiennes, Franck Desmedt s’investit beaucoup en
région. Il fonde et dirige la
compagnie « le Talent girondin » et
est à l’origine avec celle-ci de nombreuses créations. C’est le cas,
par exemple, de« Quand Voltaire et Diderot s’invitent » pour le
festival « Eté Girondin », spectacle qu’il met en scène et qui sera
repris au théâtre fémina de Bordeaux.
En solo (pour éviter
de dire en « one man show »), il signe en tant qu’acteur quelques
uns de ses plus beaux spectacles :
-
« Lettres à un jeune poète » de Rilke
-
« Pression » de Pascal Bancou
-
« Le Horla » de Guy de Maupassant
-
« Un cri », écrit, joué et mis en scène par lui-même
-
« Robinson des Mers » d’après le récit du navigateur Yves
Parlier (performance qui suscitera l’engouement du public et qu’une
critique dithyrambique saluera).
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